Afin de protéger ses intérêts, d’éviter tout amalgame ou usage détourné, et d’officialiser le fait que Monsieur Junior Rengou Ouzerou, qui a été le fondateur de la chaine Stad’Afric, n’a plus aucun rôle décisionnel et opérationnel sur la chaine Stad’Afric depuis qu’il a sollicité le Groupe Mediactive pour qu’il ressuscite la chaine après sa faillite fin 2017 et la liquidation judiciaire de la société Baigom Company, le groupe Mediactive a décidé d’arrêter la chaine et de mettre fin à sa diffusion.
Cette décision intervient après que le Groupe Mediactive ait été contraint de prendre ses distances avec Monsieur Junior Rengou dès 2018 et faute d’être parvenu à trouver un accord. Monsieur Junior Rengou continue, malgré les évidences matérielles, à revendiquer la propriété et direction de la chaîne alors qu’il ne propose aucun plan acceptable pour le Groupe Mediactive et qu’il refuse lui-même toutes les offres qui lui ont été faites.
Le Groupe Mediactive qui a tenu à honorer ses propres engagements pris auprès des partenaires et des collaborateurs quand il a fallu reprendre officiellement la chaine et la relancer dans l’urgence, constate qu’il lui sera impossible dans les conditions actuelles de recouvrir les sommes importantes qui ont été investies et notamment celles injectées pour éponger l’important passif financier laissé par Monsieur Junior Rengou et sa société Baigom Company. Le nom Stad’Afric est définitivement sali, les pertes sont importantes. La chaine cesse donc d’émettre définitivement.
Le Groupe Mediactive continue toutefois de revendiquer la pleine propriété de la chaine et de la marque qui ne saurait être opportunément exploitée par Monsieur Junior Rengou ni par la société Groupe Bouquet Africa basée au Cameroun (que Monsieur Junior Rengou tente de faire intervenir) ou tout autre tiers, sans qu’un accord officiel ne soit conclu.
Monsieur Junior Rengou n’ayant en rien contribué à ce qu’est devenue la chaine Stad’Afric depuis la reprise par le Groupe Mediactive, il est important de préciser qu’il ne peut se prévaloir d’aucun mérite.
L’équipe de la rédaction et de la production qui avait été mise en place par le Groupe Mediactive ainsi que les 14 correspondants locaux, qui ont réalisé un travail de qualité et reconnu depuis un an, sont les premiers à souffrir des conséquences de ce litige qui va maintenant se déplacer devant les tribunaux. Ils s’associent néanmoins et unanimement à cette décision.
C’est pourquoi le Groupe Mediactive travaille actuellement sur un projet qui permettra à toutes les équipes et aux partenaires de rebondir rapidement et dans un contexte totalement épuré.
Communiqué de presse