La 3ème promotion de l’Afrique au féminin produira 8 reportages autour du thème « Femmes d’exception » pour Canal+ en Afrique
Formation itinérante de Canal+ University, le label de formations aux métiers de l’audiovisuel de Canal+ International, L’Afrique au féminin lance sa 3ème édition cette année. L’Afrique au féminin est une initiative qui vise à soutenir, former et mettre en lumière les réalisatrices et réalisateurs résidant en Afrique subsaharienne.
Sélectionnés en septembre 2019, parmi une centaine de candidatures, les huit Journalistes Reporters d’Images (JRI) ont produit chacun un reportage de dix minutes autour du thème « Femmes d’exception ». Après un atelier d’écriture en Côte d’Ivoire et une semaine de formation au montage à Dakar, les lauréats livreront le fruit de leur travail. Ces reportages seront diffusés lors d’une émission spéciale d’Enquête d’Afrique, présentée par Hapsatou Sy, le 10 mars prochain sur Canal+ en Afrique.
Huit pays sont représentés dans cette promotion, avec des lauréats venant du Bénin, de la Côte d’Ivoire, du Gabon, du Mali, de Madagascar, du Sénégal, du Tchad et du Togo. Kismath BAGUIRI, Ismaël KWAWY ANGOH, Wivine SÉBIYERA OVANDANG, Diaka CAMARA, Felana Carol RAJAONARIVELO, Samba BA, Yamgoto GUILE et Joël TCHEDRE représenteront respectivement leur pays natal.
« Canal+ University est né, il y a bientôt un an déjà, d’une volonté d’encourager les transferts de compétences et favoriser la mobilité sur le continent africain. Nous formons des journalistes des chaines de télévision nationales ainsi que tous les métiers du cinéma, afin de leur donner des outils pour produire du contenu aligné sur les standards internationaux », déclare Grace Loubassou, Responsable des relations institutionnelles, qui porte le projet.
Avec Canal+ University, Canal+ International réaffirme son engagement dans la co-production de contenu et intensifie sa contribution au développement de l’audiovisuel sur le continent africain.
« Il est important pour Canal+ d’avoir des histoires locales, conçue et raconter avec le regard de ceux qui les vivent et qui puissent se raconter à l’international », ajoute Grace Loubassou.